Le culte du gros livre pas pratique

Combien de critiques de jeu de rôle avez-vous lu où on se lamente qu’un livre soit à couverture souple ? L’argument avancé est la solidité. Je ne vois pas en quoi c’est plus solide. Je trouve que les coins ont même tendance à s’user plus vite. Il y a très peu d’avantage à la couverture dure pour un manuel. Ou alors, il faut un truc sérieux genre les reliures que l’on utilise en bibliothèque pour assembler les périodiques. Et s’il n’y avait que la couverture dur. À la rigueur, mon Bubble Gumshoe au format comics à couverture dur est très pratique à lire, mais l’habitude éditorial du jeu de rôle est de faire du grand format.

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La qualité des espaces dans le livre de jeu de rôle

C’est sans doute une des raisons les plus importantes pour lesquelles je ne regrette pas beaucoup le livre de jeu de rôle papier. On peut dire que c’est une raison quasiment pathologique de ma part. Pour moi, un livre dont les espaces entre les mots ne sont pas de belle qualité ne mérite pas d’être gardé (après un gros effort sur moi-même, j’accepte désormais de les lire, oui, avant ils ne valaient pas la peine d’être lus). Et disons le franchement, rares sont les livres de jeu de rôle qui n’ont pas des problèmes d’espace à un endroit ou à un autre.

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